x59x (Auteur du topic), Posté le: Mer 04 Avr 2012, 18:20 Sujet du message: Nouvelobs " attaque de nouveau Free "
Nouvelobs " attaque de nouveau Free "6911963511
Free Mobile illimité : principe novateur ou limite d’un mode de consommation ?
Modifié le 04-04-2012 à 18h14
LE PLUS. Le client Free Mobile voit quasiment un appel sur deux échouer aux heures de pointe. Quel que soit le responsable entre la connexion Orange-Free ou l'itinérance, c'est l'occasion de s'interroger sur la viabilité du modèle économique low cost.
Cela fait bientôt trois mois que l’offre de Free Mobile a inondé le marché de la téléphonie mobile "sans engagement". Après avoir littéralement gobé presque trois millions d’utilisateurs sur cette courte période, des lacunes techniques pointent le bout du nez alors que l’Eldorado était promis.
Bilan après 90 jours : un réseau engorgé et des clients mécontents
Grâce aux deux premiers mois, l’action Free Mobile a explosé pour le plus grand bonheur des investisseurs. Toutefois, les premiers nuages sont arrivés car les activations de ligne sont longues, la portabilité ressemble à un chemin de croix, et, diverses pannes (surtout en mars) surviennent aux heures de pointe.
Les limites techniques sont présentes et les solutions tardent à être trouvées de la part de Xavier Niel. La balle est renvoyée par Orange qui n’acceptera pas d’engorger son propre réseau (donc ses clients), car ceux de Free Mobile seraient trop nombreux et utiliseraient des mobiles non adaptés (en 2G notamment grâce /à cause de l’offre à 2 euros).
De plus, de nombreux clients se plaignent de ne pas avoir de répondeur. C’est d'ailleurs là que l’on s’aperçoit de son importance ! Pannes, réseau inopérant aux heures de pointes, service indisponible, une réussite commerciale à double-tranchant… Free Mobile est-il victime de son succès ? Xavier Niel va-t-il réussir à fidéliser ses abonnés malgré ces couacs ?
La question se pose d'autant plus que Virgin Mobile vient de se positionner sur le marché du forfait low cost : 45 minutes d'appel et 450 SMS pour 4.99 euros.
Rappel des faits depuis janvier 2012
Le tsunami Free Mobile a donc déferlé sur la France un matin glacial de janvier. Il a épargné des centaines de milliers de bourses en quête d’un abonnement téléphonique (beaucoup) moins cher.
Le pouvoir des Français est en baisse, heureusement, la bande à Xavier Niel va mettre du baume au cœur de ses utilisateurs vilipendés depuis des années par les opérateurs historiques Orange, Bouygues Telecom et SFR. Pour ne plus être un pigeon pensaient-ils, une seule condition : souscrire chez Free Mobile.
2 offres sont proposées par le quatrième opérateur : l’une à 2 euros par mois qui permet aux usagers de téléphoner pendant 60 minutes et d’envoyer 60 SMS ; et l’autre, à 19,99 euros par mois mois, permettant aux heureux clients de disposer d’un forfait illimité mais pas vraiment, à savoir les appels, les SMS et l’Internet mobile (à hauteur de 3 Go).
La réponse des opérateurs sur le segment « sans engagement »
Face à ces tarifs cassés, une diaspora fonça chez Free Mobile. Dans un tel contexte, les concurrents avaient deux solutions : une baisse des tarifs et des coups bas. Ils ont choisi les deux.
D’une part, les tarifs ont baissé d’environ 40% (par exemple, le forfait illimité de B and YOU est passé de 34,90 euros par mois à 19,90 euros mensuels en quelques heures) chez Sosh, Virgin Mobile ou encore B and YOU. Et d’autre part, les attaques ont été nombreuses de la part des dirigeants concurrents.
Entre l’éventualité d’un réseau Free Mobile fantôme et d’une couverture bien moins importante que celle demandée par l'Autorité de régulation du marché (ARCEP), chaque jour connaissait son lot de joutes verbales. En moins de trente jours, tous les opérateurs ont cependant accepté les nouvelles règles du jeu en mettant à niveau leur prix, et, en réduisant le nombre de possibilités offertes aux clients. En somme, les prix ont baissé et les offres se sont regroupées. Un premier round largement dominé par Free Mobile.
La contre-attaque des concurrents de Free Mobile
Clairement, Free Mobile veut savonner la planche de ses concurrents concernant la téléphonie mobile. Dans un premier temps, le coup est réussi car les demandes de résiliation s’amoncellent chez les opérateurs historiques.
À ce petit jeu, ces derniers mettent à jour leurs offres, notamment celles "avec engagement". L’objectif est d’éviter une trop forte volatilité de sa clientèle de base en la fidélisant grâce à un item : le téléphone. En effet, dans le cadre du sans engagement, soit il n’y a pas de téléphone, soit il faut le payer au prix fort car il n’est pas subventionné.
Les protagonistes du marché proposent alors des tarifs en baisse et de nouveaux téléphones. Ils vont même jusqu’à proposer les mêmes terminaux dans le cadre des offres sans engagement afin de prouver que leur offre est plus qualitative que celle de Free Mobile, ce dernier venant seulement de disposer de l'iPhone 4S.
Parallèlement, la mise en place de la 4G, à savoir la technologie qui permettra de se connecter depuis son smartphone à la même vitesse que dans le cadre d’une connexion classique à domicile, est accélérée pour créer des nouveaux besoins, auxquels Free ne pourra pas répondre dans l'immédiat.
De plus, cette semaine, Virgin Mobile a de son côté mis en place des offres quadruple play aux tarifs relativement agressifs et sans engagement. Les concurrents semblent remporter le deuxième round.
Une société de consommation critiquable
Au final, le client se retrouve avec une prestation peu chère mais parfois défectueuse. A la décharge de Free Mobile, Rome ne s’est pas faite en un jour. Mais le consommateur du troisième millénaire veut tout rapidement, si possible à un prix cassé.
Seulement, pour des raisons techniques, la qualité a un prix, tout simplement. S’évertuer à proposer toujours plus pour toujours moins ne sera pas possible in extenso. D’une part, car la qualité ne peut être indéfiniment au rendez-vous et, d’autre part, car cela entraîne un nivellement par le bas des investissements.
Dans ce marché, l’objectif est de « faire » du volume si les prix sont si bas. Or, pour assurer un service client digne de ce nom et, un réseau qualitatif, il faut employer des salariés. Une baisse continue des prix ne peut pas générer des embauches sur le long terme. Alors, comment faire consommer plus en créant moins d’emplois ?
korek, Posté le: Mer 04 Avr 2012, 18:34 Sujet du message:
5660651162
"LE PLUS. Le client Free Mobile voit quasiment un appel sur deux échouer aux heures de pointe. Quel que soit le responsable entre la connexion Orange-Free ou l'itinérance, c'est l'occasion de s'interroger sur la viabilité du modèle économique low cost. "
aux heures de pointe les gens conduisent..
et c'est interdit de telephoner en conduisant..
Bonsoir
x59x (Auteur du topic), Posté le: Mer 04 Avr 2012, 19:16 Sujet du message:
6911963511
Bonsoir,
- Entre 7h30 et 8h00 départ vers le lieu de travail
- Entre 8h00 et 16h00 pour les plus chanceux " On travaille, Logiquement on appel pas ".
- Entre 16h00 et 17h00 on est sur la route du retour "travail, domicile"
Il reste donc ce créneau horaire 17h à 21h pour apeler sa petite famille et prendre de leur nouvelle.
Hors c'est dans cette même tranche d'horaire que les problèmes de surcharge de réseaux limite les appels .
Ensuite vers 21h quand tout est revenu à la normal, et bien pour ceux qui travaille, c'est presque l'heure d'aller se reposer pour être en forme le lendemain au travail.
Conclusion , on n'a de l'illimité que le weeck end.
phifi, Posté le: Mer 04 Avr 2012, 19:24 Sujet du message:
2859225149
Faites comme moi: il m'arrive fréquemment de finir à 21 heures et de bosser la nuit, .0..donc moins de soucis avec les heures où les appels ne passent pas du premier coup !
Free65, Posté le: Mer 04 Avr 2012, 19:32 Sujet du message:
6548159488
moi je m'en fout.
J'ai 2 forfait à 2 euros (enfin un à 0€ et l'autre à 2 €): sur le premier en mars j'ai consommé 9 Mn et 7 SMS, sur le second qui est dans la voiture de mon épouse, éteint mais batterie chargée, 0 mn 0 SMS, il est là juste en cas de besoin, panne , accident.... cela me fait un budget de 24 €/an, je peux assurer. Avant Free Mobile cela n'existait pas. Il fallait taper dans le prépayé et là ce n'était pas les meme tarifs
aux heures de pointes je suis chez moi et comme 70% d'entre nous j'ai une ligne ADSL Free. Si je veux téléphonner, je prends le fixe. Je me demande pourquoi les autres n'en font pas autant surtout si le mobile pose des problèmes....mais il y a tellement de choses que je ne comprends pas...
farfar06, Posté le: Mer 04 Avr 2012, 20:26 Sujet du message:
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ça se passait comment chez les autres opérateurs au début (Itineris, BT et SFR)?
Incroyable cette mauvaise foi! Et très vite on colle le terme de "Low cost" à Free Mobile!
canut, Posté le: Mer 04 Avr 2012, 20:54 Sujet du message:
70046281
J'avais lu des articles similaires au sujet des premiers forfaits incluant des plages horaires illimitées, début 2000 : les réseaux Bouygues et SFR saturaient en ville aux mêmes horaires, cela avait facilement duré 4 ou 5 mois.
Communications coupées: le compteur continue de tourner Saturation également des réseaux. Sur la Côte d'Azur, les journaux ont fait leurs choux gras d'encombrements ponctuels. A l'Affut, on tempère toutefois les difficultés: «Ce n'est pas parce qu'à Saint-Trop cela bouchonne en août qu'il faut en conclure que les réseaux sont partout sous-dimensionnés.» Sur ce registre France Télécom se dit serein. Avec 6 milliards de francs investis en 1997, Itinéris est passé de 3 000 à 6 200 relais en 1997. Il en affiche aujourd'hui 6 700. C'est SFR qui rencontre aujourd'hui des difficultés. Surtout en Ile-de-France et plus précisément du côté de La Défense et des Champs-Elysées, c'est-à-dire là où pullulent les appels. SFR mène d'ailleurs de fin juin à fin septembre des travaux sur la capitale. Comme pour les autoroutes, explique Thierry Gattegno, «on profite que nos clients sont sur la côte pour rénover nos installations sur Paris». 450 sites sont ainsi concernés. Prix à payer: l'interruption du service, de préférence aux heures creuses, le temps du changement de relais. «Qu'on ne s'étonne pas si, à 11 heures du soir, les appels ne passent plus dans le tunnel de Saint-Cloud"» Corollaire des encombrements
Globalement, sur 100 appels passés, toutes configurations confondues, Itineris et SFR font jeu égal, avec 78 à 79% de communications réussies dès le premier essai et de qualité parfaite. Ce qui signifie que plus de 1 appel sur 5 est complètement loupé ou laisse à désirer. Bouygues fait nettement mieux avec 86% d'appels réussis tout en étant parfaits. Le son DHR (digital haute résolution), utilisé sur le réseau Bouygues et vanté par l'opérateur, ferait la différence. Mais, au 1er août 1998, il offrait une couverture nettement inférieure aux autres opérateurs, avec, par exemple, 68% des autoroutes et des routes nationales équipées seulement, contre respectivement 96 et 99% pour SFR et Itineris. Depuis, Bouygues a posé de nouveaux relais. Mais les mauvaises langues disent qu'au vu des investissements consentis les antennes sont trop espacées pour que la couverture ne ressemble pas à du gruyère sur certains tronçons.
Du coup, la SFR et France Télécom réagissent en se lançant dans un racolage systématique. Avec une idée en tête: augmenter coûte que coûte le nombre d'abonnés, pour couper l'herbe sous le pied de Bouygues. Et la publicité pour «un monde sans entrave» ou «sans fil» inonde les écrans. En quelques mois, les prix s'effondrent et les abonnés affluent.
x59x (Auteur du topic), Posté le: Mer 04 Avr 2012, 21:29 Sujet du message:
6911963511
Moi non, ça ne me rappel rien vu le prix des forfaits proposés à l'époque , le mobile été un luxe, j'ai patienter jusqu’à l'arrivée de Free Mobile, avant ça je me contenté du fixe ou de carte prépayé uniquement pour avoir un numéro accessible 24h/24 7j/7.
Pour ce qui est du propos tenu dans l'article " Low Cost" je trouve cela déplacer , pour moi low cost veux dire une offre venu de l'étranger, hors Free est basé en France.
Ensuite et en dernier point, je trouve que NouvelObs depuis la sortie de Free , n'a jamais réellement sortie un Article vantant les mérites de Free Mobile mais à plutôt dénigré dans tout les sens sa venu sur le marché de la téléphonie mobile.
Ceux sont des journalistes assoiffés par le buzz que peu provoquer un article discutant de Free Mobile, sans argument, et très mal informés de la réalité.
PoilàGratter, Posté le: Jeu 05 Avr 2012, 9:23 Sujet du message:
6058854876
x59x a écrit:
Moi non, ça ne me rappel rien vu le prix des forfaits proposés à l'époque , le mobile été un luxe, j'ai patienter jusqu’à l'arrivée de Free Mobile, avant ça je me contenté du fixe ou de carte prépayé uniquement pour avoir un numéro accessible 24h/24 7j/7.
Pour ce qui est du propos tenu dans l'article " Low Cost" je trouve cela déplacer , pour moi low cost veux dire une offre venu de l'étranger, hors Free est basé en France.
Ensuite et en dernier point, je trouve que NouvelObs depuis la sortie de Free , n'a jamais réellement sortie un Article vantant les mérites de Free Mobile mais à plutôt dénigré dans tout les sens sa venu sur le marché de la téléphonie mobile.
Ceux sont des journalistes assoiffés par le buzz que peu provoquer un article discutant de Free Mobile, sans argument, et très mal informés de la réalité.
Que ces journalistes et ce Journal soit partiaux, ça n'est pas contestable. D'ailleurs, quels journalistes sont objectifs ?
Par contre, affirmer que "... sans argument, et très mal informés de la réalité", c'est un peu rapide tout de même ...
Cortex76, Posté le: Jeu 05 Avr 2012, 10:02 Sujet du message:
7201766916
farfar06 a écrit:
ça se passait comment chez les autres opérateurs au début (Itineris, BT et SFR)?
Incroyable cette mauvaise foi! Et très vite on colle le terme de "Low cost" à Free Mobile!
Oui enfin, on n'est plus en 1996, difficile de comparer ! Incroyable cette mauvaise foi
totuo2002, Posté le: Jeu 05 Avr 2012, 10:12 Sujet du message:
3325729556
C'est un bon début pour Free Mobile et les problèmes de soirée ne sont que provisoire, ça montre même que l'offre a été un grand succès.
On a toujours dit que Free faisait du low cost, et c'est peut être vrai les premiers mois, on a dit pareil avec l'ADSL et à la sortie de chaque box, aujourd'hui ils sont les plus performants.
La même chose arrivera avec le mobile, ce n'est qu'une question de temps.
Les bonnes nouvelles commencent d'ailleurs à arriver : https://www.universfreebox.com/article16933.html https://www.universfreebox.com/article16935.html
J'ai suffisamment attendu Free Mobile pour lui excuser ses erreurs de jeunesses.
Le low cost chez Free se transforme vite en performance.
J'ai hâte de voir ou ils en seront pour leur premier anniversaire en janvier 2013.
A ceux qui ne veulent pas être bêta-testeur attendez 6 mois après chaque nouveauté, personnellement je n'attendrai jamais, ces petits problèmes ne m'ont jamais empêché de vivre.
De plus j'aime comprendre pourquoi il y a des problèmes et suivre cette actualité, Merci à univers Freebox de nous donner autant d'infos et de rumeurs.
Renard des ondes, Posté le: Jeu 05 Avr 2012, 20:58 Sujet du message:
7061865579
Citation:
Moi non, ça ne me rappel rien vu le prix des forfaits proposés à l'époque , le mobile été un luxe, j'ai patienter jusqu’à l'arrivée de Free Mobile, avant ça je me contenté du fixe ou de carte prépayé uniquement pour avoir un numéro accessible 24h/24 7j/7.
Alors si cela ne te rappelle rien et que ta seule expérience est Free , de ton propre aveu...
*** Modération *** Merci d'essayer d'être constructif *** Modération ***
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